Un atelier d’une importance majeure s’est tenu le lundi 28 avril 2025, au Sheraton Hôtel. Il était consacré à la lutte contre la fraude et la corruption dans les projets financés par la Banque mondiale, ainsi qu’aux outils de contrôle fiduciaire. Cet événement a eu lieu grâce à un partenariat entre le Groupe de la Banque mondiale (GBM) et la Commission nationale indépendante pour la prévention et la lutte contre la corruption (CNIPLC).

En plus de la délégation de la Banque mondiale, l’ensemble du  personnel administratif de la CNIPLC, dirigé par la Présidente, Mme Badria Zakaria Cheikh Ibrahim, a participé activement à cette rencontre. Les membres de l’Assemblée des Commissaires, dont le Vice-président, M. Abdo Kamil Mohamed, ont également pris part à l’événement, ce qui a renforcé son importance.

Dans son intervention, Mme Badria Zakaria Cheikh Ibrahim a souligné l’importance de cet atelier, qu’elle a qualifié d’étape clé dans la lutte collective contre la corruption. Elle a également mis en avant les outils et stratégies proposés par la Banque mondiale, indispensables pour renforcer la transparence et préserver l’intérêt public dans la gestion des projets de développement

Une journée intense d’échanges et de débats sur la fraude et la corruption a permis d’identifier les risques et de définir des solutions concrètes. Les discussions ont abouti à des pistes d’action alignées sur les standards internationaux, renforçant ainsi la collaboration entre les acteurs.

La Banque mondiale a salué l’engagement exemplaire de la CNIPLC et confirmé son soutien à la République de Djibouti dans ses réformes visant à renforcer les mécanismes de lutte contre la corruption.

Cet atelier représente une avancée significative pour Djibouti dans son objectif de promouvoir une culture fondée sur la transparence, l’intégrité et la responsabilité dans la gestion des projets de développement.

À 17h, lors de la clôture de la session, Mme Badria Zakaria Cheikh Ibrahim a adressé ses remerciements aux représentants de la Banque mondiale et à l’ensemble des participants. Elle a réaffirmé son engagement à poursuivre les initiatives entreprises. Ce moment a marqué une nouvelle étape dans l’effort collectif visant à renforcer la gouvernance éthique et à assurer une gestion plus rigoureuse des projets de développement.